L’Eglise et le clergé provençal pendant la Grande Guerre

16 septembre 2016

«  Prouvençau é catouli, nostro fé n’a pas fali.  »1 Le cantique de Malachie Frizet écrit en 1875, était ainsi devenu une sorte d’hymne de ralliement, de revendication presque, dans un contexte intérieur de plus en plus conflictuel. En effet, l’affirmation des valeurs de la république naissante n’allait pas manquer de provoquer des crispations, dont celles liées à la loi de séparation de 1905 furent l’apogée. De ce fait, la question du soutien des catholiques à l’entrée en guerre, neuf ans plus tard, de «  la France républicaine  » pouvait se poser. La réponse est à l’image de celle de toute la nation. Il n’y aura pas de défection. D’ailleurs, dans les premiers jours du conflit, l’heure n’est-elle pas à une certaine «  religiosité institutionnelle  ». N’est-ce point à une Union «  sacrée  » que convie le Président de la République Raymond Poincaré le 4 Août, n’appelle-t-on pas la première mitraille reçue, le «  baptême  » du feu … Quant à la victoire de la Marne en Septembre 1914 (l’expression fit florès dans la presse catholique) n’est-elle pas hâtivement qualifiée de «  miracle  ». Rien de moins étonnant donc dans cette sorte de «  mystique républicaine  », que les catholiques trouvent leur place au cœur de la Nation en armes. Mais se pose cependant la question de la mobilisation du clergé.

«  Les curés sac au dos  »

C’est en effet ainsi que l’on surnommera, dès sa promulgation, la loi de 1889. Celle-ci s’inscrit dans le contexte de l’enracinement de la république radicale et dans un souci d’égalité citoyenne. Cette loi stipule dans son premier article, que «  tout Français doit le service militaire personnel  »et rappelle qu’«  en cas de mobilisation […] les élèves ecclésiastiques seront versés dans le service de santé.  » (article 23). En 1905, un amendement supprimera cet alinéa et désormais, c’est aussi dans les unités combattantes que pourront être versés les jeunes séminaristes. De ce fait, au moment de la mobilisation, dans le seul diocèse d’Aix-en-Provence et Arles, près du quart des prêtres en activité seront mobilisés («  une cinquantaine […] et l’on sait que le clergé diocésain compte environ 240 prêtres  »). De plus «  la plupart des élèves du Grand Séminaire sont également partis.  » 2 Les chiffres sont encore plus significatifs dans le «  petit diocèse d’Avignon [où] 65 prêtres sont actuellement soldats.  »3 ou dans celui de Digne (109 prêtres sur 300 et 16 séminaristes). Pour les membres de congrégations, la mobilisation est d’abord synonyme de retour en France. En effet, la plupart de leurs membres avaient quitté le pays suite aux lois d’interdiction dont les premières furent votées dès 1880. Dans les simples mouvements maritimes des premiers jours de Septembre, «  soixante trois frères des missions d’Egypte et vingt-quatre de Smyrne  » 4 débarquent au port de Marseille.

L’intégration des membres du clergé, de ces «  soldats particuliers  », se fera relativement aisément. L’abbé Bagnol, vicaire de Bollène, sergent au 4e colonial, à son arrivée au régiment «  avait tenu à rester une journée entière en soutane au milieu des autres soldats, pour leur faire savoir qu’il y aurait un prêtre au milieu d’eux sur les champs de bataille.  »5 Si l’on estime qu’un tiers environ des mobilisés entreront dans les unités combattantes 6 , la plupart se retrouve dans les services de santé et de brancardiers, tandis que d’autres vont s’engager dans le cadre de l’aumônerie militaire dont le rôle est «  d’abord d’assurer le culte, de célébrer la messe – ils disposent à cet effet d’un autel portatif – et d’administrer les sacrements.  » 7 Ils trouvent dans cette présence aux côtés des soldats, une sorte de mission de soutien, de réconfort, d’assistance. Une lettre d’un soldat du Var explique comment «  tous les soirs, le moral des troupes est relevé par les causeries des aumôniers, dont l’un a vraiment le don de toucher. Il est vrai qu’il est très «  cocardier  ». Deux dizaines de chapelet pour les prisonniers et les soldats morts  ; une dizaine pour ceux qui combattent dans les tranchées. La cérémonie se termine par une bénédiction et la lecture des communiqués officiels et des nouvelles générales.  » 8 Le rôle complexe du clergé peut-être résumé par cette adresse de Mgr Latty, évêque d’Avignon, lorsqu’il rappelle que «  Ministres de paix et de charité par vocation, le fusil et l’épée ne peuvent changer ce caractère sacré de votre personne et de votre vie.  » 9

Ferveur patriotique, ferveur religieuse  ?

La foi sur le front est-elle profonde  ? Lorsque l’on se réfère à la presse catholique locale, il semble qu’une conversion massive soit en train de s’étendre sur le pays. C’est ce que l’on croit comprendre en lisant la Croix de Provence du 21 Avril 1915, où est décrite cette messe de Pâques dans la paroisse de Puget sur Argens où «  1200 soldats arrivés pour formation […] n’ont cessé de défiler en grand nombre dans l’église  ; les uns accomplissant leur devoir de chrétien, les autres venant longuement prier le Dieu des armées de les protéger.  » Si un retour vers la religion est indéniable, on le constate dans chaque paroisse avec les assistances massives aux messes de départ  ; cela n’est pas pour autant un mouvement profond et durable. C’est plus par curiosité et superstition que de nombreux soldats se rendent aux différents offices. Il y a aussi une recherche de protection individuelle, que l’on retrouve dans le port de médailles bénies, plus porte-bonheur qu’objet de piété. Celles-ci avaient été largement distribuées au passage des mobilisés dans les gares par de zélées religieuses. Cependant, lorsqu’un «  coup dur  » est évité sur le front, on n’oublie pas de remercier. C’est ainsi que les plaques vont se multiplier dans tous les édifices religieux et en particulier dans notre région dans la basilique de Notre-Dame de la Garde, où l’on retrouve aussi de véritables «  ex-voto de guerre  » avec des épées, des sabres, des épaulettes… Il y a également des dévotions particulières qui se révèlent. C’est surtout celle pour Jeanne d’Arc dont le statut est à la fois religieux et militaire. Ceci sied parfaitement à la période d’autant que sa béatification est toute récente (1909, elle sera canonisée au lendemain du conflit). Ainsi, dès Septembre 1914, les enfants d’Aix prient la sainte pour le succès des armées, et un an et demi plus tard (Février 1916) une statue de deux mètres de haut à son effigie est inaugurée à l’Eglise de la Madeleine10. Quant aux cantiques à la pucelle de Domrémy, ils accompagnent nombre de cérémonies religieuses comme à Lorgues où à la messe de Pâques, l’acclamation «  La grande France  » acheva la célébration avant que «  deux aimables quêteuses distribuent une petite fleur bleue – fleur de Jeanne d’Arc.  » 11 Une autre consécration toute particulière tient à la dévotion au Sacré Cœur. Le diocèse d’Avignon lancera même une souscription pour construire une église en son honneur. Cette décision naît d’un vœu de guerre de Mgr Latty : «  élever au Dieu des armées  » ce «  monument de la guerre  » 12

Sur la question du retour à la foi, un regard lucide est porté en Septembre 1917 dans une lettre que reçoit du front le curé de Fuveau, l’abbé Moisan, «  Ici plusieurs exemples de conversion, peu nombreuses mais très sérieuses  ; une en particulier, très remarquable. Un type qui au début de la campagne attribuait au hasard, puis à la Providence, puis à Dieu, les protections dont il a été l’objet.  » 13 Le retour «  au premier plan  » de la religion, ne va évidemment pas de soi, et les tensions ne vont pas tarder à resurgir.

Les prêtres sont-ils des embusqués  ?

C’est le député socialiste d’Arles, Sixte-Quenin, qui va être un des fers de lance de la polémique sur la place des prêtres «  dans les sections d’infirmiers, pendant que les pères de famille se battent et meurent dans les tranchées.  »14 Il n’en fallait pas plus pour faire resurgir les vieilles querelles antérieures au conflit. Ce à quoi, dans une formule que n’aurait pas renié Joseph Pagnol (le père instituteur anti-clérical de Marcel), l’arlésien répond qu’il n’a pas à tenir compte de certaines remarques de «  gens qui affirment avec un sérieux imperturbable que trois bons dieux n’en font qu’un.  »15 L’action du député provençal se prolongera par une proposition de loi en Novembre 1916.
Cette démarche législative, s’inscrit dans un climat général de dégradation de l’Union Sacrée. Certains titres de presse comme Le Bonnet Rouge, La Lanterne sont particulièrement véhément. La Dépêche de Toulouse, quant à elle, lancera «  un défi à n’importe quel poilu (mais un vrai, alors  !) de dire qu’il a vu monter la garde aux tranchées à un curé ou à un millionnaire  ».16

«  La rumeur infâme  », c’est ainsi que sera qualifiée cette charge par la presse cléricale. Elle sera d’autant moins bien acceptée par les catholiques méridionaux, qu’ils avaient eu à éprouver quelques mois plus tôt, d’autres critiques infondées, celles d’avoir fait preuve de lâcheté au cours des premiers combats du mois d’Août 1914 en Lorraine 17. La riposte ne se fera pas attendre et cela passera, dans les différents organes d’information religieuse, par la publication de longues listes qui égrènent les noms des différents clercs morts, blessés, ou cités à l’ordre du jour («  Feuillets de notre Livre d’or  » dans l’Echo de Notre-Dame). A l’occasion, au détour d’un article, on retrouve également ce type de commentaire : «  On rappelle, pour ceux de la Dépêche, que le séminariste Paul a déjà eu deux citations. Il est dans les tranchées.  » 18

Un des fondements de ce mouvement de critique tient, en partie, à la position du Pape Benoît XV élu suite au décès de Pie X, le 3 Septembre 1914. Son premier message, cinq jours plus tard, «  Lettre en faveur de la paix  » fixe immédiatement les objectifs du souverain pontife. «  Nous avons été frappé d’horreur et d’angoisse inexprimable par le spectacle monstrueux de cette guerre, dans laquelle une si grande partie de l’Europe, ravagée par le fer et le feu, ruisselle de sang chrétien […] Nous prions et conjurons ceux qui dirigent les destinées des peuples, d’incliner désormais leurs cœurs à l’oubli de leurs différends en vue du salut de la société humaine.  » Appeler à la paix, c’est donner tort à chacun des belligérants et s’attirer donc la méfiance des deux camps. Le clergé français va devoir faire montre de pédagogie, pour après chaque message, en faire «  une exégèse francophile  » comme lorsque la Semaine Religieuse d’Aix, argumente en citant le Cardinal de Paris, «  Pourquoi n’ajouterions-nous pas qu’il [Benoît XV] connaît et qu’il aime particulièrement notre pays  ?  » 19

Fondamentalement, la guerre pose cependant de vraies questions de conscience. En effet, à l’instar de la considération socialiste d’une internationale de la classe ouvrière, n’y a-t-il pas aussi une universalité que le catholicisme porte d’ailleurs dans son étymologie. Peut-on alors sans retenue tuer ses camarades de lutte ou ses frères de croyance  ? En Janvier 1915, une messe est dite à Barcelonnette pour une centaine de prisonniers allemands retenus dans la cité. A l’issue de l’office, voilà la conclusion d’un des gardiens. «  Tous paraissaient avoir l’habitude de la messe. Tout cela était bien  ; et si la guerre actuelle ne tournait pas, de la part de nos ennemis, à la sauvagerie absolue, nous resterions sur une favorable impression,… Mais hélas…  » 20 Hélas, la guerre s’éternise et les illusions d’un conflit bref ont fait long feu… Rapidement, on comprend que pour aller à la victoire, il faudra aussi que l’Arrière joue pleinement son rôle, et l’Eglise le comprend aussi.

«  Une mobilisation foncière  »

Le patrimoine immobilier du clergé est considérable en 1914, et d’ailleurs une partie des locaux vont être utilisés par l’autorité militaire  ; parfois même pour des objectifs surprenants. C’est dans ce cadre, que l’abbaye de Saint-Michel de Frigolet, occupée par les Prémontrés jusqu’au départ des congrégations, va servir de camp de rétention pour les ressortissants des états de la Triplice, parmi lesquels d’ailleurs on retrouve un clerc, «  le nommé Rapp Louis, qui appartient d’après ses déclarations, à une mission française d’Orient.  »21 Cependant, ce sont souvent, les autorités catholiques, elles-mêmes, qui vont rapidement proposer la mise à disposition des bâtiments religieux pour l’accueil des œuvres et hôpitaux temporaires. Ainsi, à titre d’exemple, une trentaine de locaux (pour environ mille lits) sont aménagés dans le département des Bouches du Rhône (depuis le Grand Séminaire de Marseille jusqu’au Couvent de la Visitation en passant par l’ancien couvent des Sœurs de Saint-Thomas de Villeneuve à Aix en Provence…). Dans le Vaucluse, le Petit Séminaire, avec 450 lits, est le principal pourvoyeur départemental pour l’accueil des blessés. Au-delà des bâtiments, une partie du personnel mis à disposition provient souvent des congrégations. Ainsi 112 religieuses de St Thomas de Villeneuve d’Aix furent «  mobilisées  » en tant qu’infirmières dont douze furent citées ou décorées et neuf perdirent la vie comme la Sœur Sainte-Edouard Barahona, née au Chili et morte à 36 ans. Arrivée en France vers l’âge de sept ans, elle prend le «  Saint-Habit  » en 1906 et au moment de la guerre, on lui confie, à l’hôpital militaire, «  des blessés français et des Sénégalais.  »22 A Marseille, l’Echo de Notre-Dame, relève l’exemple de la Sœur Madeleine de Marie de la Maison des Chartreux qui succombe au bout de «  dix mois de ce labeur aimé, à la dispense de tant de soins multipliés.  »23


«  Donnez joyeusement votre or, Dieu aime le don joyeux.  » 24

En effet, le clergé va être un levier important de la levée massive de fonds demandée aux particuliers. D’ailleurs, l’évêque de Marseille, Mgr Fabre lance un solennel appel «  au clergé et aux prêtres au sujet de la cueillette de l’or et du nouvel emprunt.  »25 Ceci est corroboré par la lettre émise par le Directeur de la succursale d’Aix de la Banque de France, M. Larroque, lorsqu’il écrit à l’Archevêque : «  A la veille de l’Emprunt National de 1916, MM. Les Curés trouveront […] un nouvel argument pour stimuler les retardataires et pour prêcher une deuxième croisade qui, avec l’aide de Dieu, sera la dernière et qui nous conduira à la Paix victorieuse et rapide.  »26 La participation de la population catholique s’exprime également dans les autres œuvres de solidarité. Non pas que celles-ci ne soient que l’apanage des croyants, car elles fleurissent dans tous les milieux  ; mais la pratique de la charité était déjà bien structurée dans l’Eglise avant le conflit. C’est ainsi que les enfants des patronages et des écoles vont se révéler être de précieux soutiens de ce petit monde de l’Arrière. Ces enfants, selon l’expression de Clémenceau, qui «  apportent l’aide d’une faiblesse grave  » et dont il dira : «  voilà de nos poilus.  »27 On pourra ainsi indiquer l’institution dans tous les établissements de l’enseignement libre de l’œuvre du «  Sou du soldat  » qui concernera aussi les écoles publiques. Pour ce «  sacrifice personnel  », c’est «  le goûter (tablette de chocolat ou morceau de nougat) qui fait les frais du Sou du soldat.  »28 Les patronages multiplient également les séances récréatives, dont les bénéfices sont destinés aux soldats ou aux blessés. A Salon de Provence, le 1er Janvier 1915 est, à ce titre, présentée la pièce patriotique «  Cœur de Prêtre  ». A Gardanne, les fillettes de l’école vont porter des friandises aux convalescents de l’hôpital de Valabre  ; et comme le 22 Février 1915, chantent aux blessés un cantique à Jeanne d’Arc suivi de quelques poésies patriotiques. Cela se terminant, à la demande des soldats par un couplet de la Marseillaise. 29

Les ouvroirs, souvent paroissiaux, vont également se révéler particulièrement efficaces lorsqu’il s’agira de l’envoi de vêtements (chemises, tricots, caleçons, cache-nez…) ou d’objets (à Aix, 2200 boîtes de Noël avec le gibassié ont été réalisées fin 1914). Ces attentions sont souvent appréciées des soldats, qui le font savoir comme lorsque de la 29e Compagnie du 3e de ligne émane une lettre de remerciement pour l’ouvroir paroissial de Volonne dans les Basses-Alpes. Elle se termine par «  continuez à être généreuses pour les petits soldats de France.  »30 Les catholiques, comme le reste du pays, vont également s’attacher à la générosité envers des œuvres multiples dont certaines sont particulièrement originales comme l’œuvre du pain perdu pour les prisonniers russes et polonais. Ainsi, à Port-Saint-Louis, les paroissiens sont invités à apporter leurs restes de pain après les avoir grillé pour qu’ils soient envoyés vers les camps de détention. D’autres œuvres sont plus spécifiquement liées à l’aspect religieux  ; ainsi chez M. Vita, place des Prêcheurs à Aix, l’œuvre du dé percé, a pour but «  de retirer des fonds de tiroir, les débris d’or et d’argent qui seront ensuite refondus, et du creuset, sortiront des vases sacrés.  » Ces calices et ciboires seront ensuite offerts aux églises dévastées.31 De même, une autre œuvre va particulièrement concerner les diocèses. C’est celle des Orphelins de guerre, qui feront l’objet d’une attention toute particulière avec la mise en place de liste de souscription afin de préparer l’avenir de ces enfants qui seront les symboles du traumatisme du conflit, y compris une fois celui-ci achevé.

D’ailleurs, comment l’Eglise provençale sortira-t-elle du conflit  ? Eprouvée comme toute la Nation (dix-neuf prêtres décédés sur le diocèse de Marseille et dix-huit sur celui d’Aix et Arles). Mais elle se retrouve également sensiblement mieux intégrée au creuset républicain  ; l’épreuve des tranchées est passée par là. Comme l’écrivait l’aumônier Imbs de Rassuen, le camarade-curé «  partage la même gamelle et la même paille et éprouve les mêmes joies et les mêmes souffrances  »32 que les autres combattants. Il en partagera le titre de Poilu, et plus tard, le statut d’ancien combattant. Le «  retour à la foi  » tant espéré par la presse cléricale s’est-il déroulé  ? Là encore, la nuance est de rigueur. Les églises ne connaîtront pas un spectaculaire regain de fidèles après le conflit. En revanche, avec la construction de nombreux monuments aux morts à l’intérieur des édifices religieux, elles participeront pleinement au devoir de mémoire.

Christophe VERA

Remerciements :
Archives diocésaines d’Aix-en-Provence
Archives diocésaines d’Avignon et leur site internet www.diocèse-avignon.fr
M. LARDIERE et son site internet www.roquepertuse.org

Notes :

1 «  Provençaux et Catholiques, notre foi n’a pas failli.  »
2 Semaine Religieuse d’Aix – 16 Août 1914
3 Croix d’Avignon et du Comtat – cité in www.diocèse-avignon.fr
4 Semaine Religieuse d’Aix - 6 septembre 1914
5 cité in www.diocese-avignon.fr
6 pour toute la question des prètres mobilisés du diocèse d’Aix-en-Provence, se référer à l’excellent site www.roquepertuse.org
7 BONIFACE X. – Les aumôniers de la première Guerre mondiale
8 Croix de Provence – 7 Mars 1915
9 id.
10 Croix de Provence - 27 février 1916
11 Croix de Provence - 11 avril 1915
12 www.diocese-avignon.fr
13 Correspondance de l’abbé Moisan - Archives paroissiales Fuveau
14 L’Homme de Bronze – 19 Mars 1916
15 id
16 La Dépêche de Toulouse – 13 Février 1916
17 sur cette question, se référer à l’importante documentation, en particulier LE NAOUR – «  La légende noire des soldats du Midi  »
18 Semaine Religieuse d’Aix en Provence - 1916
19 Semaine Religieuse d’Aix en Provence – 20 Septembre 1914
20 Croix de Provence – 24 Janvier 1915
21 AD13 – 1 Y 236
22 Nécrologie des religieuses ND de Grâce dites de Saint-Thomas de Villeneuve - cité in www.roquepertuse.org
23 L’Echo de Notre-Dame – 18 Juillet 1915
24 cité in JJ.BECKER – La France en guerre 1914-1918 p47
25 L’Echo de Notre-Dame – 15 Octobre 1916
26 Semaine Religieuse d’Aix – 22 Octobre 1916
27 Discours prononcé à la Chambre des Députés le 26 Novembre 1917
28 Croix de Provence – 14 Février 1915
29 Croix de Provence – 28 Février 1915
30 Croix de Provence – 21 Février 1915
31 Croix de Provence – 17 Juin 1917
32 cité in www.roquepertuse.org